Guinée :l’arrêt de la Cour de la CEDEAO suscite l’incompréhension au sein de l’opposition
Le FNDC a saisi la Cour de Justice de la CEDEAO depuis le 18 Février 2020 d’un recours pour violation du droit communautaire relatif aux droits de l’homme, aux principes démocratiques et à l’État de droit.
En raison des risques encourus et de l’urgence, ce recours est assorti d’une demande de procédure accélérée et d’une demande de mesures provisoires.
Les mesures provisoires sollicitées avaient pour but d’obtenir, à titre conservatoire, la suspension du processus électoral et référendaire en attendant que la Cour examine les griefs portés devant elle.
Curieusement, la Cour a fixé la date d’audience au 12 mars, alors que le double scrutin référendaire et législatif était fixé au 1er mars. En effet, l’audience sur les mesures provisoires qui étaient censées nous préserver de ce qui devait se passer le 1er mars a été fixée au 12 mars.
Merci de lire ci-dessous les éléments d’incompréhension de la décision, développés les juristes Nadia Nahman et maitre Amadou Diallo.
Créé le 20 mars 2020 10:14
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